Aller à l’International ?
Au-delà de l’envie de découvrir d’autres pratiques et d’autres cultures, la volonté n’est autre que celle de saisir des opportunités. Le Canada semble développer son intérêt pour les préoccupations énergétiques et environnementales : allons voir si notre expérience peut être appréciée. La Côte d’Ivoire sort de 15 ans de régression : retournons nous confronter à la satisfaction des impératifs environnementaux dans le pays et la sous-région.
Le Maroc, enfin, s’invite dans nos réflexions à travers différents concours en cours et une prospection qui se précise.
Et en France ?
Le développement d’une fructueuse collaboration se poursuit avec Daniel Vaniche et son agence : nous lui donnons la parole dans les pages suivantes.Le périmètre de nos activités Energie et Environnement s’élargit : Mission d’Ecologue, Mission de Commissionnement, … nous vous les présentons.
Télécharger la plaquette FR
Version Française |
Ouverture d’ALTO2 à MontréalALTO2 est une firme de Conseil en Performance Energétique et Environnementale pour les Bâtiments et l’Aménagement urbain. ALTO2 accompagne ses clients et partenaires sur l’ensemble du cycle de vie des projets :
Spécialisations :
Site web http://www.alto2.ca
Siège social 430 Rue Sainte Hélène Montréal, Québec H2Y 2K7 Canada |
Côte d’IvoireJ’avais réalisé, avec Luc PEIROLO (Architecte) et Serge LACOSTE (Khephren) plusieurs missions de 1997 à 1999 : Il était passionnant de voir le parallèle entre les préoccupations environnementales qui émergeaient en France et les problèmes que nous rencontrions en Côte d’Ivoire portant sur l’écoconstruction (géo-béton, argile, …), l’auto-construction, les ENR (biomasse, PV, …) notamment pour l’électrification rurale, la ventilation naturelle, l’aménagement durable.
Présents en Décembre 99, nous devions revenir en janvier 2000 pour formaliser la réalisation d’une zone de logements que l’on qualifierait aujourd’hui d’éco-quartier. Manque de chance pour nous, mais surtout pour les Ivoiriens, L. Gbagbo pris le pouvoir par un coup d’Etat… nous n’y sommes jamais retournés. 15 ans après, l’opportunité se présente d’intervenir à Bouaké (1,5 M habitants) où le sujet est à la fois éclairage public, électrification de la ville, reconstruction du marché (6 000 étals) et abattoir sur environ 10ha : possibilité d’un écosystème potentiellement quasi parfait où les déchets, y compris la gestion des eaux usées, permettraient la mise en œuvre d’une cogénération ou d’une unité de méthanisation produisant chaleur (notamment pour les besoins d’eau chaude pour le nettoyage du marché et des abattoirs), froid (pour les étals de viandes et poissons), électricité et éclairage public pour tous. La gestion des EP n’étant pas oubliée. Je trouve que l’on est dans l’impératif environnemental plus que dans la simple « préoccupation avec ou sans objectif de certification » et que, de ce fait, la motivation est, naturellement, profonde. |
|
A suivre.
Jean-Pierre MOUILLOT